La droite de Silvio Berlusconi a échoué dans sa tentative de rester au pouvoir à Milan et de ravir à la gauche Naples, lors du second tour des municipales, selon les premières projections réalisées sur la base d’un dépouillement partiel des résultats.

À Milan, une projection accordait un net avantage au candidat de la gauche Giuliano Pisapia à 53,5% contre 46,5% à la maire sortante, Letizia Moratti. À Naples, les projections donnent le candidat de la gauche, Luigi de Magistris, en tête au second tour à 61% contre 39% pour son rival.

Au cours d'une conférence de presse à Tripoli, un représentant du ministère libyen de la Justice a indiqué que les deux avocats Roland Dumas et Jacques Vergès s'étaient portés «volontaires» pour soutenir une plainte des familles des «victimes des bombardements de l'OTAN» contre le président Sarkozy, dont le pays a pris la tête des opérations de la coalition internationale en Libye.

«Non à la deuxième consultation obligatoire prévue dans le projet de loi sur l'avortement! La femme n'a pas besoin de deuxième consultation ni de toute autre forme de pression morale». C'est la résolution adoptée par le PJ.
«Chaque femme peut un jour se trouver confrontée à l'avortement. J'ai donc beaucoup discuté de cette résolution avec mes deux sœurs», explique Patrick Weymerskirch, 17 ans, président de la commission de la famille du PJ.

«Comment ne vous êtes-vous pas rendu compte que le fait de louer un appartement qui valait dix fois le smic par mois était inacceptable?», demande Dominique-Strauss Kahn. En 2005, c'est à Hervé Gaymard, ministre français de l'Économie sous Raffarin, qu'il pose cette question sur le plateau de France 2 lors de l'émission «100 minutes pour convaincre».

Le chef de la N-VA, Bart De Wever, l'homme politique le plus populaire de Flandre, a apporté son soutien à des déclarations d'un membre de son parti, Vic Van Aelst, qui depuis plusieurs jours distille des attaques contre la communauté francophone. Ses critiques sont «formulées durement» mais sur le fond elles comportent des «vérités fondamentales», a jugé M. De Wever, faisant fi des appels des responsables politiques francophones qui l'appelaient au contraire à condamner son militant.